Réseaux … définition et plus ! « Networker by birth », j’ai toujours fait partie de réseaux depuis mon adolescence, et j’ai contribué à en créer ou consolider de multiples …. Je continue !
RÉSEAUX pourquoi ?
- Pour meubler une existence agréable et bien remplie
- Pour conduire sa vie de façon avisée
- Pour tirer parti des opportunités
- Pour parer les menaces du quotidien
- Pour mener une vie agréable et distrayante
- Pour nourrir une insertion sociale
- Pour accéder à des sources d’information (et mieux consommer par exemple)
- Pour se débrouiller dans les dédales de la bureaucratie
- Pour obtenir des appuis et améliorer sa situation professionnelle
- Pour donner et recevoir une aide pour faire face à des situations de crise
Extrait de « A l’écoute des gens ordinaires » d’Alain de VULPIAN – (publié 2004) page 193 avec ISBN : 2-10-007239-0
QU’EST-CE QU’UN RÉSEAU ?
Un ensemble de personnes qui se concertent pour mettre en commun des idées, des informations et des ressources.
Plus une démarche qu’un aboutissement. L’important, c’est le processus ! Autrement dit le besoin de communication qui détermine les inter-relations et rassemble les citoyens. (…)
Cette activité résiliaire se concrétise par :
- des réunions
- des appels téléphoniques
- des voyages
- des échanges de livres, de lettres et de méls des photocopies
- des propos tenus de bouche à oreille
- des rencontres amicales
Les réseaux se proposent aussi bien d’organiser telle ou telle forme d’entraide que de transformer la société, d’améliorer les conditions de travail, ou encore de partager certaines ressources.
Leur structure permet à l’information de circuler beaucoup plus vite, beaucoup plus efficacement, et favorisent beaucoup mieux les contacts humains directs(…)
LES RÉSEAUX ET LA CRÉATION DU SAVOIR
L’un des principaux avantages des réseaux c’est qu’ils permettent d’obtenir aisément de l’information (…)
Bien que la vocation première des réseaux soit de partager l’information et de faciliter les contacts, leur activité ne se borne pas à un simple transfert de données. Elle peut aboutir à la création et à la mise en circulation de connaissances nouvelles.
Les réseaux nous offrent ce que les bureaucraties ne pourront jamais nous apporter : la possibilité d’établir des liaisons horizontales.
Pour traverser le corps social, les réseaux prennent des raccourcis qui leur permettent de fournir aux individus et aux questions qui se posent à eux, des solutions plurivalentes. (…)
Les réseaux surgissent dès qu’une tentative est faite pour changer la société … des gens s’organisent spontanément pour modifier un des aspects de la société … avec une grande efficacité. UN PHÉNOMÈNE DE NOTRE TEMPS (…)
Les confréries traditionnelle sont élitistes ; les réseaux d’aujourd’hui sont égalitaires.
Les réseaux sont composés de gens de tous les niveaux imaginables. S’ils se traitent les uns les autres sur un pied d’égalité, c’est parce que ce qui les détermine est l’information, et que l’information est par essence égalisatrice.
Pourquoi ? pour trois raisons
1 le déclin de nos structures traditionnelles
2 la profusion assourdissante de l’information
3 l’échec manifeste de nos hiérarchies
(…) Communiquer et s’efforcer de trouver en commun des solutions aux problèmes que nos structures traditionnelles avaient été incapables de résoudre. (…)
L’INDIVIDU DANS LE RÉSEAU
Le passage du pouvoir vertical au pouvoir horizontal sera grandement libérateur pour l’individu … L’activité résiliaire responsabilise l’individu et apporte à tous les participants un enrichissement mutuellement nourri.
Dans le contexte du réseau, c’est la responsabilité donnée aux autres qui est gratifiante, et non pas l’arrivisme à tout prix qui s’exerce au détriment des autres.
Nous vivons désormais dans un monde qui n’est plus une simple constellation de réseaux mais une galaxie de constellations résiliaires …
Dernière phrase du livre (que je reprends à mon compte)
« Seigneur ! quelle époque fantastique nous vivons ! »
Source : LKles 10 Commandements de l’Avenir» de John NAISBITT – 1984, traduit de l’anglais «Megratrends» : les grandes tendances de notre temps) publié en 1982 aux États Unis – un des 10 chapitres est consacré aux réseaux !
Table des matières` + Préface de Michel Cicurel
Introduction
1 De la société industrielle à la société informatique
2 L’intrusion technologique et la réponse humaine compensatoire
3 De l’économie nationale à l’économie mondiale
4 Du court terme au long terme
5 La dynamique décentralisatrice
6 De l’assistance institutionnelle au renouveau de l’initiative
7 De la démocratie de représentation à la démocratie de participation
8 Des hiérarchies aux réseaux
9 Le déplacement Nord-Sud
10 De l’alternative simple à la société multi-optionelle
Conclusion
Extrait de la 4° de couverture
«Selon que l’individu va parier sur les promesses du futur ou les certitudes du passé, il se préparera une société harmonieuse ou un monde rigide, sans humanité».
Il faut connaître ces 10 propositions pour en évaluer la richesse, la force, l’intelligence. Notre essor économique et social, notre mieux-être, notre évolution en dépendent. Et avec les nôtres, ceux du monde.
Traduit de l’américain par Gérard PILOQUET (journaliste et traducteur) « L’ère industrielle touche à sa fin : l’économie nouvelle sera fondée sur l’information, sur la création, la transmission et l’échange de l’information. Voilà l’un des dix commandements de l’avenir. Et cette brillante étude en comporte neuf autres. Tous remarquables. Tous surprenants. Tous stimulants… »
extraits de « MEGATRENDS » de John NAISBITT